De Gaulle et la « justice d’exception », par Jacques Laurent

De Gaulle à Alger en 1958, promettant mensongèrement de garder l’Algérie française.

Voici quelques rappels sur une période sombre de l’histoire de France, lorsque la tyrannie gaulliste s’exerçait à l’occasion de la trahison de l’Algérie française.

Notre époque ressemble de plus en plus à celle-là. La justice est « aux ordres » – de l’idéologie de gauche et du régime – et, parallèlement, l’administration exerce un totalitarisme croissant (dissolutions, interdictions ou attaques financières à l’encontre des médias pas suffisamment alignés…).

Voici un extrait de ce qu’écrivait Jacques Laurent, dans son fameux Mauriac sous De Gaulle :

« Pour rendre De Gaulle agréable à ses lecteurs, Mauriac feint de croire, d’abord que Bastien-Thiry l’a assassiné, ensuite que De Gaulle ayant ressuscité n’a répondu à ce crime que par une charitable indulgence. Or, De Gaulle a fait juger Bastien-Thiry par un tribunal spécial, c’est-à-dire sans les garanties que notre civilisation accordait habituellement aux accusés et sans aucun des recours que le droit permettait d’invoquer contre tout verdict. La seule atténuation eût pu venir d’une grâce dont De Gaulle seul disposait.

Dans ce procès il était partie, il disposait des juges, il disposait du recours. Bastien-Thiry fut fusillé.

La Justice est avec la Défense nationale la raison première et la finalité du pouvoir.

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Neuvaine à sainte Jeanne d’Arc jusqu’à sa fête, pour la France et l’Eglise. Litanies de sainte Jeanne d’Arc

La France est dans la situation la plus tragique qu’elle ait connue au cours de son histoire longue et mouvementée : inféodée à des puissances étrangères, occultes et supranationales, dégénérée moralement, dirigée par des crapules, livrée aux barbares, victime d’une submersion migratoire qui la menace de disparition définitive…

Plus que jamais, les Français patriotes doivent agir mais aussi prier, l’aide du Ciel leur étant nécessaire.
Implorons particulièrement Jeanne d’Arc, sainte de la Patrie, héroïne de la nation, modèle militant, sauveur de la France et restaurateur de son autorité légitime, afin qu’elle aide et oriente les Français de bonne volonté et qu’elle leur suscite des chefs à la hauteur de la situation.

En guise de neuvaine, nous proposons de réciter chaque jour (pour 2023 : du 5 au 13 mai, veille de la fête de Sainte Jeanne d’Arc) les litanies ci-dessous.
On peut bien sûr les réciter par ailleurs à tout moment de l’année.

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Rappel à Dieu de Jean-Claude Pérez, l’un des principaux chefs de l’OAS

Jean-Claude Pérez a différents moments de sa vie.

Jean-Claude Pérez avait 95 ans.
Médecin diplômé en 1954, il exerça son métier d’abord à Alger dans le quartier de Bab El-Oued, puis à Paris jusqu’en 1995.

N’appartenant à aucun parti politique, mais sensible aux événements se déroulant en Algérie, il s’impliqua dès 1953 dans la défense de cette province française où il faisait bon vivre pour toutes les populations.
Alors qu’il était totalement étranger à l’attentat, il fut incarcéré quelques mois en 1957 dans le cadre de l’enquête sur l’« affaire du Bazooka » (tentative de meurtre du général Salan, vraisemblablement manigancée par les milieux gaullistes).
Il devint  plus tard l’un des chefs de l’Organisation Armée Secrète.
Il fut incarcéré encore de façon épisodique dans diverses prisons algériennes et métropolitaines jusqu’en 1965, et fut condamné à mort par contumace pour son rôle au sein du commandement national de l’OAS. Il fut amnistié en 1968 en même temps que les autres résistants patriotes encore condamnés.
Sa deuxième fille, Emmanuelle, a épousé Ali Boualam, un des fils du bachagha Boualam.

► On peut se procurer ici quelques livres écrits par le Dr Pérez, ainsi que le remarquable Mémoires d’Empire auquel il a contribué.

► Voici l’émouvant témoignage de l’un de ses cousins :

« Mon cousin, le docteur Jean-Claude Pérez, vient de nous quitter et c’est une partie de ma jeunesse qui est partie avec lui. Pas un seul homme ne fut un aussi grand défenseur de l’Algérie Française que Jean-Claude. Est-il nécessaire de rappeler qu’il fut le « patron » des commandos « Delta » et eu sous ses ordres le lieutenant Degueldre et, bien avant, l’organisateur des « Barricades » en janvier 1960 avec Pierre Lagaillarde. J’étais alors à ses côtés.
Jean Claude était le « docteur » de Bab-el-Oued, de tout ce petit peuple qui un jour du mois de Mars 1962 s’éleva contre l’abandon de la France et fut bombardé et assiégé par l’armée française, sous les ordres de De Gaulle et du général Ailleret.

Je me souviens d’une anecdote qui m’a beaucoup marqué : une bombe avait éclaté boulevard de Provence, à l’arrêt du tram.
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C’était un 6 février… 1934 : le meurtre de patriotes scandalisés par la corruption

À l’appel d’organisations patriotiques (Croix-de-feu, Ligue d’Action française, Jeunesses patriotes, Solidarité française…), des dizaines de milliers de Français, dont beaucoup d’anciens combattants, manifestent à Paris contre la corruption extrême qui règne dans les milieux politiques (l’affaire Stavisky est un élément déclencheur), au cri de « à bas les voleurs ! »

Alors que la tension monte et que les Croix-de-feu se dispersent sagement, rive droite, des heurts ont lieu entre manifestants et policiers. La foule s’approche trop du Palais Bourbon au goût du Régime, qui fait tirer les Gardes mobiles sur les citoyens…

22 Français mourront sous les balles ou les coups de la République (liste ci-dessous) et plus d’un millier sera blessé.

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C’était aussi un 6 février 1945 : la mise à mort de Robert Brasillach

« Les derniers coups de feu continuent de briller
Dans le jour indistinct où sont tombés les nôtres.
Sur onze ans de retard, serai-je donc des vôtres ?
Je pense à vous ce soir, ô morts de Février. »

Robert Brasillach, la veille de sa mort

Poète, écrivain (les livres de lui et sur lui sont achetables ici) et journaliste nationaliste célèbre, Robert Brasillach était fusillé à l’âge de 35 ans, victime de l’Épuration gaullo-communiste.

Homme de grand talent, Brasillach laisse derrière lui – bien que relativement jeune – une œuvre très abondante et variée : romans, études, histoire, mémoires, cinéma et critiques littéraires…
Les communistes savaient quel danger cet homme représentait pour leur plan de conquête culturelle et voulaient sa mort.
De Gaulle, qui lui en voulait et qui voulait complaire aux communistes, refusa la grâce de cet homme condamné à mort pour ses écrits, malgré l’impressionnante pétition d’intellectuels de divers bords qui l’avaient demandée.

Voici le récit de sa mort, par son courageux avocat, Jacques Isorni :

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Il y a 40 ans mourait Louis Aragon : un sale type, au talent très surestimé


Cet écrivain médiocre – qui s’est comporté ignoblement en 1945, cherchant à éliminer du monde des Lettres ses confrères de droite par tous les moyens – est mort le 24 décembre 1982, à 85 ans.
Il fut un vrai rouge, laudateur de Staline jusqu’à très tard.
Il a même écrit un poème au Guépéou (GPU, la police politique de l’URSS, qui deviendra le NKVD puis le KGB) !
Rappelons que de 1929 à 1934 cette aimable organisation va s’occuper des paysans, ces koulaks inutiles dans le monde nouveau du socialisme réalisé : 10 000 000 de morts.
C’était le prix à payer pour la destruction d’une classe sociale devenue embarrassante. De 1934 à 1939, ce sera la grande terreur avec près d’un million de personnes tuées dans les seuls centres du Guépéou. Puis la mise au pas des nations, avec des millions de déportations au Goulag dans des conditions abjectes.

Aragon écrivait de son côté (1931) :
« […] Constituez le tribunal révolutionnaire
J’appelle la Terreur du fond de mes poumons
Je chante le Guépéou  qui se forme
en France à l’heure qu’il est
Je chante le Guépéou nécessaire de France
Je chante les Guépéous de nulle part et de partout
Je demande un Guépéou pour préparer la fin d’un monde […] »

Nous avons trouvé dans un vieux livre une notice qui résume assez bien cet auteur très choyé par la gauche et la République :

« Un écrivain très surfait ; ses romans sont pour la plupart mortellement ennuyeux (nous préférons encore ceux de sa femme Elsa Triolet, pourtant assez superficiels).
« La Semaine sainte », son chef-d’œuvre paraît-il, nous est tombé des mains au bout d’une centaine de pages.
Dans la plupart de ses poèmes, il n’y a que des vers de mirliton ; une dizaine d’entre eux ont une chance d’échapper au naufrage.

Quant à l’homme, le moins qu’on puisse dire est qu’il manquait de caractère.
Il a sans doute adhéré au Parti communiste parce qu’il lui donnait des certitudes qui manquaient à sa faiblesse, mais il n’a pas eu le courage de le quitter publiquement quand l’escroquerie est devenue patente aux plus aveugles.
Grand épurateur des lettres en 1945, après avoir très bien vécu sous l’Occupation sans être sérieusement inquiété, il s’est servi de la puissance de l’Armée rouge pour essayer de déshonorer des écrivains dont la plupart ne méritaient pas le blâme.
Il aura beaucoup fait parler de lui, ce qu’il voulait avant tout, mais nous ne croyons pas qu’il restera grand’chose de son œuvre. »

 tiré du
Petit dictionnaire des farceurs
et gens sérieux de ce siècle
, Ed. Albatros.

5 décembre : anniversaire de la naissance du franc

N’oublions pas notre monnaie nationale, outil indispensable de notre souveraineté et de notre santé économique. Pas de nation libre sans sa monnaie propre, évidemment.

L’espoir de la retrouver prochainement n’a rien de naïf, même si aucun gros parti ne le défend désormais.

Le 5 décembre 1360, les premiers francs sont frappés à Compiègne, pour aider à payer la rançon du roi Jean II de France (capturé par les Anglais le 19 septembre 1356 à la bataille de Poitiers).
Dénommé le « franc à cheval », il s’agit en fait d’un écu pesant 3,87 grammes d’or fin et valant une livre tournois ou 20 sols.
Le roi y est représenté sur un destrier, armé d’un écu à fleur de lys et brandissant l’épée, avec l’inscription circulaire « Iohannes Dei gratia Francorum Rex » (« Jean, par la grâce de Dieu, Roi des Francs »).

Au dos, on lit sur le pourtour « XPC VINCIT • XPC REGNAT • XPC INPERAT », vieille acclamation carolingienne signifiant « le Christ vainc, le Christ règne, le Christ commande ».
Ça a plus de gueule que les monnaies républicaines, non ?

Bien que le mot « franc » signifie « libre », il est plus probable que le nom de la monnaie vienne tout simplement de la première inscription.
Le roi, lors de son retour, instituera officiellement cette monnaie, avec en ligne de mire la fin des dévaluations qui se sont répétées durant la première moitié du siècle :
« Nous garderons monnaie stable qui puisse demeurer en un état le plus longuement que l’on puisse bonnement et qui ne grèvera point notre peuple ».

On est loin des préoccupations des États et des banques d’aujourd’hui…

Ce qu’on peut retenir du scrutin 10 avril en quelques mots

Tribune libre avec quelques remarques de notre groupe de réflexion « Jeanne d’Arc »:

« Quoi que l’on pense du système électoral actuel, il reflète dans une large mesure l’état de l’opinion française à un moment donné.
L’inconnue la plus « fascinante » reste les motifs de ceux qui pratiquent l’abstention (désintérêt total, paresse, convictions anti-électorales, absence de candidat adéquat…), qui fut particulièrement élevée cette fois, mais aucune étude ne permet de décrire en détail cette grande masse silencieuse.

Pour ce qui est des votants, maintenant.

Macron et les boomers
Par delà les clivages d’idées (par exemple gauche dure, gauche molle, « droite » molle, « droite » dure), le découpage électoral en fonction de l’âge est intéressant : Macron a engrangé beaucoup de voix chez les boomers (et Pécresse aussi, ce qui est la même chose).
La génération du baby-boom (qui a donc donné les boomers, qui ne sont pas tous mauvais bien sûr, mais nous parlons d’une tendance globale), marquée par les Trente glorieuses (plein emploi, pouvoir d’achat) et par Mai 68, se singularise dans l’histoire de France comme l’une des pires : elle aura laissé derrière elle une France littéralement envahie, désindustrialisée et surendettée. Et elle ne se repend pas, au contraire : elle s’entête dans ses choix égoïstes avec toujours cette devise : « après nous le déluge ».
Les boomers votent globalement mal, sont nombreux, et se déplacent davantage pour voter que les autres (ils aiment ça) : donc, surtout en cas d’abstention importante, leurs voix pèsent beaucoup.

Evidemment Macron a aussi séduit la bourgeoisie citadine moderne, les « bobos », privilégiés et décadents.

Zemmour
Il n’a pas réussi son pari malgré des débuts prometteurs. Il a siphonné l’électorat de droite qui s’était longtemps égaré chez la fausse droite LR-UMP-RPR, celle qui depuis des décennies escroque et trahit une bonne partie de ses électeurs et accompagne la politique de la gauche d’année en année. Mais il a peiné à attirer l’électorat populaire, qui s’est plutôt tourné vers Marine Le Pen ou, secondairement, Mélenchon.
• Il faut reconnaître que l’actualité récente a desservi Zemmour : la guerre en Ukraine l’a surpris dans une certaine posture de poutinophilie plutôt embarrassante au vu du contexte et sa sévérité initiale vis-à-vis des réfugiés ukrainiens n’a pas été bonne pour son image.
• De même, et surtout – à notre avis –, la thématique du pouvoir d’achat a pris le pas sur beaucoup d’autres, avec les craintes d’inflation et la flambée du prix des carburants : or Marine Le Pen s’est positionnée sur ce créneau et presqu’uniquement celui-ci.
les sondages, dont il faut bien comprendre qu’ils ont davantage vocation à façonner l’opinion publique qu’à la refléter, ont détruit la dynamique Zemmour au profit de Marine Le Pen dans la perspective d’un supposé « vote utile ». Les sondages, dont on ne sait jamais trop quoi penser, servent en tout cas à orienter l’opinion : « si le candidat qui porte mes idées ne va faire qu’un petit score, autant que je vote pour un autre, qui porte moins mes idées mais ira peut-être au second tour ».
• Le renfort de Marion Maréchal, que celle-ci a mal placé dans l’agenda électoral (beaucoup trop tard, sans plus d’espace médiatique à cause de l’actualité ukrainienne), n’aura pas eu l’effet escompté et la droite « hors-les-murs » (ou dite « identitaire » à plus ou moins juste titre) ne pèse pas aussi lourd dans l’électorat que sur internet ou chez les gens politisés. Les partisans de la jeune femme en espéraient beaucoup plus.
• Cela dit, obtenir 7% des voix, pour une première, n’est pas non plus un « bide » et le parti « Reconquête! » est apparemment le premier de France en matière d’adhésions et peut-être de militants (aucun autre candidat n’aurait pu égaler le meeting du Trocadéro) : mais il y a les militants d’un côté, et les électeurs de l’autre. Chez Macron et chez Marine Le Pen (dans une moindre mesure) il y a, à l’inverse, beaucoup de votants mais peu de militants. C’est injuste mais c’est cela, la démocratie : elle ne récompense pas tellement l’engagement.
De plus, l’engagement de ses militants sera-t-il durable, surtout dans l’adversité ?
• Quoi qu’on pense de sa candidature, Zemmour a été le seul à avoir un discours un peu raisonnable sur l’immigration de remplacement, qui menace de tuer la France : mais les Français votants qui pensent d’abord à leur nation sont peu nombreux face à ceux qui privilégient leurs petits intérêts personnels et immédiats, spécialement d’ordre économique. C’est cela aussi – et surtout –, la démocratie.

➥ Mélenchon
Dans une logique de « vote utile », Mélenchon a réussi à siphonner les voix du PS et des Verts. Il a plus de gouaille qu’Hidalgo et que Jadot, et son programme sur les questions environnementales était proche de celui de l’escrologiste.
Dans les villes, il récupère une part non négligeable des voix des jeunes : le lavage de cerveau gauchiste que ceux-ci subissent depuis des années porte des fruits.
Mais surtout, son résultat important est le signe de la politisation croissante de la population étrangère en France.

Un des faits les plus notables de cette élection est en effet la mobilisation des étrangers à papiers français.
Ils étaient très nombreux en France mais ne votaient jusqu’à présent que peu et leur influence électorale était donc secondaire quoique petit à petit de plus en plus sensible.
Mais il y a eu un « saut » cette fois-ci et désormais ils répondent enfin à ceux qui les courtisent le plus (la gauche radicale qui, ne pouvant plus compter sur les ouvriers, se cherche une nouvelle armée de ce côté).
C’est ainsi que l’Espagnol rouge Mélenchon a réussi à faire se déplacer jusqu’aux urnes une population immigrée essentiellement islamique (mais pas que) en sa faveur.
Cela veut dire que la voix des Français va compter maintenant beaucoup moins, dans leur propre pays, lors des consultations électorales.
On attendait ce moment prévisible : ça y est.

 
voir la colonne « musulmans ».

➥  Pour finir, le processus de destruction et remplacement des vieux partis (PS et LR-UMP-RPR) s’achève. Ils réalisent respectivement 1,75% et 4,78% des voix. Aucun Français digne de ce nom ne va s’en attrister.
C’est une petite révolution dans le landerneau politicien et, cerise sur le gâteau, la fausse droite LR – étant sous le seuil des 5% – ne sera pas remboursée de ses frais de campagne, ce qu’elle n’avait nullement prévu : ses caciques vont devoir faire la manche comme des Roms de base.

Bref. Jugeant l’arbre à ses fruits et pour faire simple, on ne peut que constater, si besoin en était et que l’on veuille utiliser la démocratie faute de mieux ou pas, que ce système (dont les fondements idéologiques sont de gauche, sans parler des forces occultes qui l’animent forcément) mène à la catastrophe : la France est en train d’en crever. »

Jean-Luc Mélenchon : faux rebelle, vrai mondialiste

UNE IDÉOLOGIE MORTIFÈRE

Se présentant lui-même comme un « rouge »[1], admirateur du sanglant Robespierre[2], ancien militant de l’Organisation communiste internationaliste (groupe trotskyste particulièrement sectaire), Mélenchon est un idéologue forcené, nourri de références marxistes.
Il ne voit d’ailleurs « pas le problème » à être communiste : c’est vrai, qu’est-ce que 150 millions de mort après tout ?
Pour ce négationniste, « Non, les communistes n’ont pas du sang jusqu’aux coudes. »  [3] Il sait toutefois s’aligner sur la politique internationale du camp libéral-mondialiste, ayant par exemple soutenu la guerre catastrophique menée par Sarközy en Libye.

HOSTILE A LA NATION

Hostile aux frontières nationales en vertu de son idéologie cosmopolite (comme le Grand Capital), Mélenchon est partisan du mondialisme et de la soumission de la France à l’Union européenne : il a milité pour le traité de Maastricht et pour l’abandon de notre monnaie. Un certain nombre des mesures qu’il propose n’est d’ailleurs pas applicable en vertu de notre absence de politique monétaire propre et de la soumission du droit français au « droit européen », dont il n’est généralement que la retranscription. Pas de nation sans frontières : Mélenchon n’est donc pas un partisan de la nation française au sens classique et historique du terme ; il est partisan de l’idéologie républicaine et confond République et France. Cette dernière n’est pour lui qu’un ensemble à vocation « universaliste », sans contenu propre, si ce n’est une idéologie récente, celle qu’il a choisi.

HAINE DU CHRISTIANISME

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Un secret intouchable : celui de la franc-maçonnerie

Au grade d’Apprenti, on exécute régulièrement un geste mimant l’égorgement (dans les rites « écossais » et « français », rappelant le serment de l’Apprenti : « Je préférerais avoir la gorge tranchée plutôt que de révéler les secrets qui m’ont été confiés ».

de l’abbé Gabin Hachette :

« Une polémique au sujet du secret de confession vient de faire ces dernières semaines les choux gras des médias. Qu’a-t-on reproché à Mgr de Moulin-Beaufort[1] ? D’avoir affirmé sur le plateau de Franceinfo que « le secret de confession était plus fort que les lois de la République »[2], ce qui est une évidence si l’on a l’humilité et le bon sens de reconnaître que la République française n’est pas Dieu et que ce régime gouvernant la France, apparu il y a un peu plus de deux siècles dans les circonstances que l’on sait, doit comme toute œuvre humaine respecter et prendre en compte des lois divines qui la dépassent [3]. Tel n’est pourtant pas l’avis du gouvernement, puisque par la bouche de son porte-parole M. Gabriel Attal, celui-ci a enfoncé le clou en affirmant qu’ « il n’y a rien de plus fort que les lois de la République. » [4] Rien de plus fort, vraiment ? On peut en douter tant il est vrai que l’on n’a jamais vu la République oser s’attaquer à un certain type de secret : celui de la franc-maçonnerie. Cette secte tant de fois condamnée par les papes paraît pourtant être l’une des plus pernicieuses au bien de la société toute entière…

Rien à cacher ?

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Rupture du contrat avec l’Australie : pourquoi la France n’est plus respectée

En 2016, après deux ans de négociations, la France et l’Australie signaient un contrat d’un montant de 56 milliards d’euros…
La France devait fournir 12 sous-marins, fabriqués par son grand groupe industriel autrefois appelé DCN (pour « Direction des constructions navales », héritière des arsenaux fondés par Richelieu), et renommé en 2017, de façon pitoyable, « Naval Group ». Un nom anglais – quel comble pour les arsenaux français – symbole du renoncement français, qui n’aura pas porté chance à la France pour les marchés internationaux.

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Il y a quelques jours, on a appris que l’Australie déchirait le contrat pour finalement se fournir auprès des Etats-Unis, dans le cadre d’une alliance à trois – avec l’Angleterre –, ourdie dans l’ombre, destinée à renforcer leur influence dans la zone « indo-pacifique », particulièrement face à la Chine.
Cette trahison envers la France, au-delà de conséquences économiques lourdes, est un très violent camouflet diplomatique et géostratégique. Un geste de mépris grave envers la France, que le ministre Le Drian a bien pris comme tel, de la part d’« amis ».

Le monde politicien s’émeut et semble s’étonner.
Pourtant, ce coup de tonnerre n’a rien d’illogique.

D’abord, il est abusif de présenter les Etats-Unis comme  « amis » de la France, comme on l’entend parfois.
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Emmanuel Macron s’apprête à abandonner 5 précieuses îles françaises de l’Océan indien !

Les îles éparses. Terres émergées : 53,19 km², lagon : 118,4 km², ZEE : 640 400 km²

Ce Régime s’apprête à littéralement brader jusqu’aux miettes de nos possessions !
Une décision infondée historiquement, une trahison envers la France, une aberration économique, énergétique et géostratégique !

Vu dans le Figaro :

« Le président malgache Andry Rajoelina et Emmanuel Macron sont convenus mercredi de reprendre les discussions sur le statut des îles Eparses, cinq îles autour de Madagascar présumées riches en hydrocarbures, administrées par la France et revendiquées par Madagascar depuis 1973 [alors que l’île n’a été déclarée indépendante par la France qu’en 1960 – NDA].

Les deux présidents sont convenus de traiter cette question non par un recours juridique ou dans des instances internationales mais dans un cadre bilatéral, par la mise en place d’une commission mixte, afin d’aboutir à une solution consensuelle d’ici juin 2020, date du 60e anniversaire de l’indépendance de Madagascar, a précisé l’Elysée à l’AFP.

« Je demande solennellement et officiellement à M. le président de trouver une solution pour la gestion ou la restitution[sic] des îles Eparses à Madagascar, au nom des 25 millions de Malgaches, parce que je connais vos engagements», a déclaré le président malgache à son homologue français lors d’un point presse commun.

[…]  « Ma volonté est que nous ayons un dialogue pour aboutir à une solution commune. Le sujet mérite mieux que des recours juridiques, des contentieux et un mauvais débat. Nous allons lancer un travail conjoint pour aller vers une solution de développement commun dans la zone économique actuelle», a répondu le président français. »

Pour qui se prend Macron ?!

Les Îles Eparses désignent cinq îles inhabitées et éparpillées dans le canal du Mozambique ainsi qu’à l’Est et au Nord de Madagascar, où la France exerce sa souveraineté.
Elles ont été rattachées administrativement à Madagascar par la France lorsque la Grande île est devenue colonie française en 1896. A la veille de l’indépendance (26 juin 1960), elles furent rattachées par décret au ministère des Dom-Tom à Paris. Un préfet en assure aujourd’hui la gestion.
Aucun Etat ou royaume malgache n’y a jamais exercé de souveraineté.

Depuis qu’on soupçonne qu’il y ait d’énormes réserves de pétrole dans les zones maritimes qui y sont attachées, le gouvernement malgache s’est fait plus insistant.

Elles présentent pour la France un grand intérêt économique (Zone économique exclusive de 640 400 km²), militaire et géostratégique, énergétique, scientifique…

PS : un de nos lecteurs ayant séjourné sur trois de ces îles nous rappelle, concernant l’enjeu écologique, que Madagascar n’arrive déjà pas à s’occuper d’elle-même (et ne soigne certaines de ses forêts que contre soutien financier) et ferait des Îles éparses, sanctuaires marins, des lieux de pêche…

Esclavage : 12 choses méconnues. Attention au choc !

On parle beaucoup de l’esclavage, dans les médias, à l’école, dans les cénacles politiciens, dans des manifestations même.

Mais a-t-on une vision complète et réaliste de ce terrible phénomène ?

Voici 12 réalités qui sont ignorées par la plupart des gens, même ceux qui parlent le plus d’esclavage.
Ces vérités dérangeraient-elles une idéologie en particulier ou un agenda politique ?

1) L’esclavage a été pratiqué très longtemps et presque partout ; mais son abolition est apparue dans le monde européen, sous la pression de l’Eglise catholique particulièrement.

2) L’esclavage a constitué un progrès chez de nombreux peuples primitifs, dans la mesure où il sauvait la vie des hommes vaincus en cas de conflit, qui, sinon, étaient massacrés (les femmes étant « mariées » de force).

3) Aux Etats-Unis, au moment de la Guerre de Sécession, seuls 2% des Blancs possédaient des esclaves (4,8% dans les Etats esclavagistes).

4) Le général Lee, commandant des armées sudistes, était hostile à l’esclavage.

5) De nombreux Blancs furent esclaves aux Etats-Unis et dans les îles. En 1640, dans les plantations de canne à sucre des Iles de La Barbade, 21 700 blancs sont recensés sur 25 000 esclaves. De 1609 à 1800, près des deux tiers des Blancs arrivent en Amérique comme esclaves.
Au XVIIe siècle, il y eut davantage de Blancs déportés aux Amériques que de Noirs.

6) Des Afro-américains possédaient eux aussi des esclaves. L’un des premiers propriétaires d’esclaves aux Etats-Unis fut un Noir (Anthony Johnson), qui avait d’ailleurs des serviteurs blancs.

7) Le mot « esclave » vient du nom « Slave », car les peuples slaves (d’Europe centrale et de l’Est) ont été victimes de la traite à très grande échelle (plusieurs millions) pendant des siècles, notamment par l’Empire ottoman.

8) Du IXe au XIXe siècles, environ 2 millions d’Européens de l’Ouest – hommes, femmes et enfants – sont capturés par les musulmans et réduits en esclavage.
Pendant des siècles, de nombreux hommes capturés sont – comme dans le cas des Slaves – castrés, opération qui entraîne la mort d’une grande partie d’entre eux. Quant aux femmes, elles sont souvent destinées à l’esclavage sexuel et livrées à la perversité de leurs « propriétaires », ce qui est parfois aussi le cas des enfants.
Pour donner une idée de l’ampleur de ces razzias, une lettre du 3 février 1442 adressée par un religieux qui résidait à Constantinople au prieur de Saint-Jean-de-Jérusalem (de l’ordre des hospitaliers) mentionne l’enlèvement par les Turcs de 400 000 chrétiens en seulement 6 ans.

9) Pendant des siècles, les Barbaresques (occupant le Maghreb) terroriseront la Méditerranée et ses rivages où ils capturent des Européens, mais ils séviront aussi en Atlantique, jusqu’aux côtes anglaises. La France a conquis Alger, en 1830, pour mettre fin à ce fléau.

10) • La traite arabo-musulmane a concerné environ 17 millions de personnes.
• La traite interne à l’Afrique (entre Noirs) a concerné environ 14 millions de personnes.
• Enfin, en dernière position, la traite vers l’Amérique et les îles a concerné de 9 à 11 millions de personnes (noires et blanches).
• La plupart des Noirs déportés vers les Amériques avaient été réduits en esclavage par d’autres Noirs puis revendus.

11) Pour la traite transatlantique, une très grande partie des navires négriers appartenaient à des familles juives, et des historiens juifs écriront même que « ce commerce était principalement une entreprise juive » I. Au milieu du XIXe siècle, aux Etats-Unis, 40% des Juifs possédaient des esclaves (contre 2% des Blancs).
Dès le IXe siècle, en France, les Juifs étaient communément montrés comme les maîtres de ce « malheureux trafic »II.

12) L’esclavage existe encore dans certaines parties du monde arabo-musulman (des images de marchés aux esclaves ont été prises en Libye en 2017) ainsi qu’en Afrique : on estime que près de 40 millions de personnes dans le monde vivent encore en esclavage…
Mais il existe aussi en Europe : aux Pays-bas, chaque année, plus d’un millier de jeunes filles sont victimes d’exploitation sexuelle par des jeunes proxénètes issus de l’immigration ; en Angleterre, dans la seule ville de Rotherham, entre 1997 et 2013, 1400 mineures ont été victimes de viols par des gangs pakistanais, des centaines de jeunes filles réduites à l’esclavage sexuel et à la prostitution.

Henri Ménestrel

Bonus :
Christiane Taubira, montrant que les élites savent certaines choses mais veulent les cacher par idéologie, explique qu’il ne faut pas trop évoquer la traite négrière arabe-musulmane pour que les « jeunes Arabes » « ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes » (L’Express, 4 mai 2006).

Sources :
La désinformation autour de l’esclavage, Arnaud Raffard de Brienne, Atelier Fol’Fer.
Le Génocide voilé, Tidiane N’Diaye, Gallimard.
La désinformation autour de la Guerre de Sécession, Alain Sanders, Atelier Fol’Fer.
Traites négrières, Olivier Pétré-Grenouilleau, Folio.
(I) New world Jewry, Seymour B. Liebman (American jewish historical society), 1982.
(II) Les Négriers en terre d’islam, Jacques Heers, Perrin.
Jews and judaism in the United States, Marc Lee Raphael (American jewish historical society).
They Were White and They were Slaves, Michael A. Hoffman

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Coronavirus : la France va vers le chaos. Pourquoi la République est responsable

1. Le nombre de contaminés en France va exploser dans les prochaines semaines (en réalité il a déjà explosé, mais il faut le temps que l’incubation se passe). Une grande partie de la population va être touchée. Angela Merkel a de son côté déclaré que « 60 à 70% des Allemands seront infectés par le coronavirus ».
2. Or, 20% des contaminés dépistés nécessitent une hospitalisation. Comme les hôpitaux sont déjà saturés, les gens qui ont besoin de soins, en particulier d’assistance respiratoire, ne pourront les recevoir et le taux de mortalité de la maladie va fortement monter. Sans compter ceux qui mourront d’autres problèmes non traités à cause de la saturation du système médical français.
3. Puisque le virus n’a pas été contenu assez tôt, il risque de circuler largement et longtemps sur le territoire.
4. Les conséquences économiques de la crise sanitaire et des mesures gouvernementales vont être terribles : explosion du nombre de faillites (et donc de suicides), graves menaces sur l’épargne des Français que l’Etat n’hésitera pas à voler si besoin…
5. Cette crise économique (avec de probables pénuries alimentaires, stimulées par les boomers et les populations nord-africaines qui font des stocks énormes), si elle dure et s’aggrave, peut dégénérer en crise sécuritaire : la partie de la population de France (je ne dis pas « française ») la plus encline à la violence et au mépris des lois civiles comme morales (suivez mon regard) s’en prendrait alors au reste de la population. La police, par peur d’attraper à la maladie et déjà affaiblie par elle, ou craignant d’affronter une trop grande violence, ou de ne plus être payée, ne fera plus rien. Etc.

En Espagne (mais nous avons le même phénomène en France) :

Si l’on en est arrivé là en France, ce n’est pas la fatalité.

Le régime est directement et gravement coupable.

La république démocratique se caractérise par des gouvernements qui sont la proie de lobbies et d’intérêts financiers occultes, qui sont soumis au jeu électoral permanent (d’où démagogie et politique de court-terme), qui sont imbibés d’idées politiques et économiques fausses menant à des aberrations structurelles, et plus généralement d’une philosophie politique erronée qui les rend inaptes à discerner le bien commun (et donc à le servir correctement). Sans parler du personnel qui compose ces gouvernements lui-même et de ses motivations (arrivisme, avarice, incompétence, idéologie…).

Par exemple, vous savez probablement qu’il y a en France un grave manque de masques chirurgicaux et FFP2. Les médecins n’ont toujours pas de masques, les pharmaciens et les laboratoires d’analyse – qui sont aussi confrontés aux contaminés – non plus, et bien sûr les contaminés eux-mêmes ne peuvent pas en avoir.
La République n’a pas été fichue de constituer ces dernières années un stock suffisamment vaste de masques et de gel hydroalcoolique, lui-même en pénurie au pire moment. La République n’a pas non plus songé à augmenter son maigre stock de masques et stimuler la production quand l’épidémie s’est répandue en Chine et que l’Etat chinois a réagi avec de grands moyens, ni quand l’épidémie est arrivée en Europe.

Le 24 janvier, la monstrueuse Agnès Buzyn, alors encore le calamiteux ministre de la « Santé », expliquait aux Français : « le risque d’importation de cas depuis Wuhan est maintenant pratiquement nul et les risques de cas secondaires autour d’un cas importé sont très faibles ».
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