L’effroyable assassinat maçonnique de la princesse de Lamballe

Parlant des Francs-Maçons et de leurs forfaits, dans son admirable encyclique Humanum Genus, le Pape Léon XIII a écrit ces lignes : « Il n’est pas rare que la peine du dernier supplice soit infligée à ceux d’entre eux qui sont convaincus, soit d’avoir livré la discipline secrète de la Société, soit d’avoir résisté aux ordres des chefs ; et cela se pratique avec une telle dextérité que, la plupart du temps, l’exécuteur de ces sentences de mort échappe à la justice établie pour veiller sur les crimes et pour en tirer vengeance. »

Rien n’est plus vrai, en effet.

La Franc-Maçonnerie profite de toutes les circonstances pour frapper ceux dont elle a décidé la mort.

Quand ses victimes sont des personnages en vue, elle prend, d’ordinaire, ses mesures pour que l’assassinat soit mis sur le compte des passions politiques ; ainsi elle opéra surtout pendant la Révolution. Par exemple, il est certain que plusieurs meurtres essentiellement maçonniques furent commis à Paris, à la faveur des horribles massacres de septembre.

Citons le cas de la princesse de Lamballe.

Cette infortunée princesse, qui fut – personne ne l’ignore – l’amie dévouée de la reine Marie-Antoinette, avait eu la faiblesse, en 1777, de se laisser affilier à la Franc-Maçonnerie, dont elle ne soupçonnait pas les tendances.
Le but de la secte était, à cette époque, d’accaparer quelques personnes de la Cour, surtout celles admises dans l’intimité des souverains. La princesse aimait les fêtes ; on la prit par son faible.

Elle fut initiée par la Loge La Candeur, de Paris.

En 1781, elle fut élue Grande Maîtresse de la Mère Loge Ecossaise d’Adoption, c’est-à-dire qu’elle fut mise à la tête des Loges de Dames. Le jour de son installation, la « Sérénissime Sœur de Lamballe », le maillet en main, put entendre le Frère Robineau lui chanter, au nom du rite, des couplets fort galants :
« Amour, ne cherche plus ta mère/Aux champs de Gnide ou de Paphos/Vénus abandonne Cythère/Pour présider à nos travaux. Etc… »

D’un esprit très léger, elle ne comprit pas ce qui se tramait dans les Loges et n’ouvrit les yeux que lorsque la Révolution eut éclaté.
Mais alors elle fit son devoir sans aucune défaillance. Elle s’efforça de réparer le mal dont elle avait été la complice inconsciente. En novembre 1791, elle prit l’initiative de la surveillance qu’il était nécessaire d’exercer sur tous les foyers de conspiration. La secte jura de lui faire payer de sa vie son loyal retour au bien.

Au 10 août 1792, la princesse de Lamballe suivit, avec le plus grand courage, la famille royale à l’Assemblée, puis au Temple. Dans la nuit du 19 au 20 août, elle fut transférée à la Force.

Son sacrifice était héroïque ; elle savait, la malheureuse, quel sort l’attendait. On en a la preuve.

En effet, c’est après la fuite de Varennes (juin 1791) que la princesse avait eu les preuves du rôle joué par la secte. Chargée d’une mission en Angleterre, elle avait constaté, avec douleur, l’influence que les Loges exerçaient sur Pitt, le conseiller du roi Georges ; celui-ci avait refusé son intervention, Pitt avait été jusqu’à dire que Louis XVI n’avait que ce qu’il méritait. Après un court séjour en Angleterre, la princesse était passée à Aix-la-Chapelle ; c’est à ce moment qu’elle avait brisé les liens maçonniques. Elle avait rompu avec la secte, et, circonstance significative, fait aussitôt son testament ; ce document, qui a été publié, est daté du 15 octobre 1791. Puis, elle était rentrée en France, pour lier son sort à celui de la famille royale.

Le 3 septembre 1792, à la Force, elle comparut devant le tribunal de sang, présidé par le franc-maçon Hébert. Sa vaillante attitude a été immortalisée par Peltier et Bertrand de Molleville. Conduite dans la rue du Roi-de-Sicile, elle fut égorgée par les massacreurs. Un de ces misérables voulut lui enlever son bonnet avec la pointe d’un sabre et la blessa au front ; un autre la renversa d’un coup de bûche ; elle fut achevée à coups de sabre et de pique. Son corps fut mutilé, telle était la rage de ces scélérats ; on lui arracha le cœur ; on coupa sa tête, qui fut promenée, au bout d’une pique, jusque sous les fenêtres du Temple.

Plus tard, en 1796, ses assassins furent jugés. L’un des principaux, Nicolas Le Grand, franc-maçon, fut condamné à vingt ans de fers ; un autre, nommé Charlat, également franc-maçon, s’était engagé pour aller combattre les Vendéens, mais il fut tué par ses camarades, à qui il faisait horreur à raison de sa participation au crime.

Hiram

[paru dans L’Héritage n°1]

Face cachée d’un monstre : Lénine

La vie de Lénine commence par un traumatisme : la mort de son frère, un gangster impliqué dans des attentats sanglants. D’où la haine animale que ce « Russe » qui ne sait pas rouler les « r » voue à toute forme d’autorité. Informé par sa mère de ses origines juives, il préfère en garder le secret auprès de ses proches. Cependant, il laissera percer son admiration pour ses origines : « Un Russe intelligent est presque toujours un Juif ou quelqu’un avec du sang juif dans les veines » dira-t-il.

En outre, il semble être obsédé par la mission dévolue au peuple juif et n’hésite pas à déclarer : « Les juifs formeront les cadres principaux de la révolution et porteront le socialisme dans les masses russes les plus arriérées ».

Alors que le bolchevisme n’est encore qu’une secte, Lénine met au point la monstrueuse « théorie des 80 kilos », toute imprégnée de matérialisme. Précisons au passage que le matérialisme dialectique élaboré par Kiessel Mordechai plus connu sous le nom de Karl Marx est issu de la dialectique qu’Hegel avait extraite de la Kabbale! Pour Lénine, le révolutionnaire professionnel se doit donc d’organiser son corps autour de 4 tranches de 20 kilos : étude / Discipline de fer/ révolutionnaire professionnel/ parti d’élite.
La guerre est pour Lénine une aubaine. Dès 1914 il prophétise: «Pas de révolution sans bain de sang. Nous ne faisons pas la guerre contre les personnes en particulier, nous exterminerons la bourgeoisie comme classe. » Son fanatisme est tel qu’il effraie ses camarades. En avril 1917, il apostrophe avec une vive irritation Zinoviev, aux mêmes origines, qu’il juge trop modéré. C’est qu’il n’est guère soutenu au sein de la secte bolchevique que par Alexandra Kollentaï, une propagandiste de l’amour libre !

Pendant quelques semaines, Lénine qui possédait quelques petits millions de francs suisses, connaît l’épreuve la plus dure de sa vie. Avec Zinoviev, il doit gîter la nuit et s’abriter sous une meule de foin. Le pauvre homme doit plus tard essuyer des « calomnies » : les bolcheviques sont accusés d’être des affidés de Berlin. Trotsky ne craindra pas le ridicule en écrivant dans son Histoire de la révolution russe : « Juillet 17 fut le mois de la plus grande calomnie dans l’histoire mondiale ». N’en déplaise à Lev Davidovitch Bronstein (Trotsky), le ministre allemand des Affaires Etrangères, Kulman, va à l’encontre de ces allégations en déclarant en septembre 1917 : « Le mouvement bolchevique n’aurait jamais pu atteindre la taille ou l’influence qu’il a aujourd’hui sans notre soutien continuel » .

Pour le malheur de la civilisation, Lénine s’empare du pouvoir.
Il imagine alors le mythe fondateur de l’URSS, la « prise  » du palais d’Hiver. Les archives soviétiques ont récemment révélé qu’elle n’avait jamais existé…

Arrivé au pouvoir, Lénine donne à sa bande de gangsters un mot d’ordre : « Pillez tout ce qui peut être pillé ». Le futur syphylique en profite pour proclamer le principe de la liberté sexuelle et dépénalise l’homosexualité. L’avortement est légalisé. Lénine a aussi la géniale idée d’instaurer un « bureau de l’amour libre ».

La police politique, la Tchéka est aussi une de ses inventions. Djerzinski, nommé à sa tête proclame « Pour faire ce travail, il faut des anges ou des démons, moi je n’ai que des démons ». Reconnaissons au moins à l’homme le sens de la formule historique.

Mais tant de sang répandu finit par dévorer l’homme qui succombe à la maladie. L’agonie est effroyable. Lénine se cache parfois pendant des semaines dans un petit bâtiment, en refusant de voir la moindre personne.

En 1923, un tchékiste du NKVD, tenant la garde devant la cabane de Lénine, entend un hurlement inhumain qui ne ressemble à rien. Il sort et voit Lénine, emmitouflé dans une sorte de draperie, la tête tournée vers la lune…

Lorsqu’il meurt le 21 janvier 1924, la température de son corps monte brusquement à 42,3°C…le thermomètre éclate ! Ainsi s’achève la vie du “saint du communisme”.

Gyula

[paru dans L’Héritage n°1]